Il y’a 30 ans la contrainte des avions était que le courant aérien se rompait au bout des ailes ce qui créait des tourbillons d’ air qui augmentes la résistance aérodynamique et qui ralenti donc l’avion. Ce qui entraînait la formation d'un tourbillon appelé "Marginal" à cause des écarts de pression.
Ainsi les chercheurs ont trouver la solution à travers la nature …
Ingo Rechenberg, chercheur mondialement connu, observa les cigognes et leur particularité de ces plumes en éventail au bout de leurs ailes. Si ce dispositif est présent c’est qu’il a une fonction précise. Il s'interrogea donc sur cette disposition et analysa : lorsque l'on libère une cigogne dans un tunnel aérodynamique nous remarquons que plus le courant est fort, plus l'extrémité des ailes s’écarte, et se courbe. Cela fait donc diminuer la résistance aérodynamique.
L'aile a commencé à pendre mollement. Puis l'élasticité a joué pour donner la meilleure forme à l’aile. De plus leurs ailes sont larges et ces régimes permettent un vol plut lent et mieux manœuvrable.
Les ingénieurs ont donc imité cela en plaçant ainsi des winglets aux extrémités des ailes de leur avion.
Les cigognes à l'origine des avions de lignes
En 1891 Otto Lilienthal, un pionnier allemand s'inspira du vol des cigognes.
Les avions de ligne se sont inspirés des plumes placés au bout des ailes de cigogne : les ailerons (winglets) sont de petits triangles fixés aux extrémités des ailes d'avion.
Ces winglets agissent comme des murs qui diminuent le flux d'air. Les tourbillons sont donc limités et la traînée est moins importante,
Et le but étant de diminuer la consommation de carburant. Dans ce secteurs les scientifiques ont réussi a perfectionné leurs avions, encore une démarche biomimétique réalisé avec succès !